Des cartons, des trajets, et un peu de patience
Eh bien, les premières menaces de mort pour désertion de blog n'auront pas tardé... ^-^;
N'ayant malheureusement pour l'instant plus accès à un scanner ou autre moyen de publication d'image, je vous demande de bien vouloir patienter pour le retour des notes illustrées.
Voici, en attendant, un petit résumé des derniers épisodes de ce mois de septembre, qui, bien que tout jeune, fut d'ores et déjà terriblement mouvementé.
(Rappel de la situation initiale: A la suite d'un contrat de travail non renouvelé, je commence, en mars dernier, une formation par correspondance dans le domaine de l'illustration. S'organise ensuite un déménagement sur Strasbourg; dont l'objectif principal est la recherche d'un nouvel -et non moins palpitant- emploi. Une recherche qui dure, dure,... s'enfonce dans la durée.)
L'élément perturbateur arrive le 03/09.
A cette drôle de date du calendrier, mon ancien employeur, basé me recontacte. On me proposer une reprise de service immédiate sur Metz, pour une suite de missions que je connais bien. Le contrat est sensé m'amener à la fin de l'année.
Réaction: les 03, 04, 05/09
Y aller? Ne pas y aller? La décision ne se fait pas attendre. Une visite express en Lorraine me fait conclure l'affaire. Je remonte ensuite à Strasbourg. Il me faut, en urgence, trouver un remplaçant pour ma chambre. Ayant chapeauté le changement d'une autre colocataire chez nous trois jours auparavant, j'use d'un réseau de contacts tout frais pour renouer avec un de nos postulants "éconduits". Le brave ami est toujours à la recherche d'un toit. Sauvé.
07/09: Retour express
Avec plus de force et d'efficacité qu'une équipe de Déménageurs bretons, nous organisons à deux paires de bras le rapatriement le plus rapide de l'histoire. Un camp provisoire est monté sur mes terres natales.
08/09: Rembraye!
Lundi, jour de reprise. Je retrouve ma boîte comme on sort d'une machine à remonter le temps. Tout est là: mêmes locaux, mêmes faune attirée à intervalles réguliers par la machine à café, même murs orange ponctués de moquette caca-doigt. Une vraie séquence nostalgie. En parallèle, une nouvelle recherche d'appartement se met en place. Objectif: trouver bien, et trouver vite.
10/09: Le château est localisé
Rendons à César ce qui lui appartient : cette pourriture d'outil Internet est extraordinaire. En quelques heures: l'annonce parfaite est repérée, l'appart est visité, et le bail est signé.
12/09: aujourd'hui
Dernière étape, ce soir: je récupèrerai les clés et emménagerai dans la foulée dans ce que sera mon... (*compte*) neuvième home sweet home en sept ans.
Et l'histoire n'est sûrement pas finie.